
Catherine Sulem a soutenu sa thèse de doctorat d’Etat à l’Université Sorbonne Paris Nord (anciennement Paris XIII), sous la direction de Claude Bardos, au laboratoire du LAGA à l’Institut Galilée en 1983.
La professeure Sulem est reconnue pour ses contributions nombreuses et influentes à l’étude “des équations aux dérivées partielles non linéaires”. Ses résultats approfondis sur “l’équation de Schrödinger non linéaire” ont résolu plusieurs questions qui avaient résistées à l’analyse pendant des années. Notamment, son travail est au coeur de la compréhension des singularités autofocalisées de cette équation. Son analyse des vagues d’eau a introduit de nouvelles idées probabilistes puissantes dans ce domaine.